Faculté de médecine vétérinaire de l'université de Liège en 1990
En chirurgie : centre de formation Vétérinarius (chirurgie du grasset /de la rotule/de la hanche - Voile du palais/TECABO/glandes salivaires - Hernies périnéales…)
Habilitation pour l’évaluation comportementale des chiens dit « dangereux ».
Au collège européen Dominique Baudoux : formation générale en 6 jours puis dermatologie en 1 jour et olfactothérapie en 1 jour. J’ai lu de nombreux livres traitant des huiles essentielles.
Formation en médecine Niromathé avec le docteur Hervé-Bazin, technique de réflexothérapie vertébrale et périphérique.
Auto formation en gemmothérapie et en hirudothérapie (thérapie par les sangsues).
Le parcours du Dr. Joelle ROBYNS
Diplôme en poche en 1990, j’effectue de nombreux remplacements ponctuels sur Liège, Nice, Avignon, Pertuis, Nimes, golfe juan, antibes, Berre l’Etang.. Enfin, ALD puis association à la clinique vétérinaire Lingostière en 1996.
Passionnée d’aromathérapie, je crée Vetessentiel en 2011 et je formule une quinzaine de produits à base d’huiles essentielles en collaboration avec Dominique Baudoux de Pranarom qui me fabrique la plupart des produits. Le reste sera fabriqué sur Nice.
En 2016, je fonde le site www.aromatherapieveterinaire.com, ouvert à tout le monde et où j’écris de nombreux articles autour des Huiles Essentielles que ce soit pour débuter ou pour préparer des formulations mais aussi pour présenter mes cas cliniques.
En 2017, je m’associe dans la création d’un nouveau labo : LABBÊA (LABoratoire du Bien Être Animal) qui reprend les produits Vetessentiel et ceux formulés par Céline Moussour, vétérinaire phytothérapeute.
Quelles sont tes pratiques en médecines alternatives?
C’est surtout l’aromatherapie que je pratique, puissante et rapide ! Mais j’aime aussi pratiquer la méthode Niromathé, prescrire la gemmothérapie, conseiller la phytothérapie, la mycothérapie, les produits de la ruche, les colloïdes…
Pourquoi choisir une telle orientation, ou ré-orientation?
Parce que c’est efficace et naturel et que nos clients sont en demande de traitement plus proche de la nature, en première intention en tout cas.
Quelle est ta vision de la médecine vétérinaire moderne? Comment ta spécialité sert-elle l’art vétérinaire?
Assez paradoxalement, je suis certaine qu’il faut développer le recours aux examens complémentaires pour les cas compliqués, de manière à être rapide et efficace mais je suis persuadée qu’il faut aussi développer une approche plus holistique en ayant recours à des méthodes plus en accord avec des méthodes dites « douces ».
D’ailleurs il est tout à fait possible d’associer plusieurs médecines. Par exemple, prescrire des huiles essentielles n’empêche pas la prescription d’antibiotiques mais va renforcer leurs efficacités.
Où pratiques-tu ? En exercice exclusif de ta spécialité ?
Je suis actuellement en reconversion, je revends mes parts au sein de la clinique à Nice où j’exerçais. Avec le développement de mon site web, de LABBÊA, la rédaction d’articles pour différentes revues et sites internet, la publication de mon guide par les éditions Alpen , sans compter ma vie de famille, je n’avais plus assez de temps pour tout gérer…
Pour continuer à exercer mon métier de vétérinaire, je pense soit faire des visites à domicile, soit intégrer une nouvelle clinique en collaborateur libéral, soit aider une consœur à s’installer avec une priorité pour développer des consultations en relation avec ces différentes médecines alternatives.
Quelles sont tes passions et centres d’intérêt ?
Les huiles essentielles bien sûr avec la formulation de nouveaux produits au sein de LABBÊA, développer mes connaissances en gemmothérapie, et en phyto en général, l’apiculture m’intéresse aussi beaucoup.
Continuer à écrire des articles pour faire connaitre ces nouvelles médecines trop peu connues.
Organiser des colloques et des formations autour des huiles essentielles.
J’aime la plongée sous-marine et le VTT surtout, ainsi que le canyoning, le ski et le surf des neiges. J’aimerais commencer le parapente.
Et si tu devais définir le bien-être animal...?
Difficile de ressentir les émotions d’un animal, bien que certaines techniques que je ne connais pas, mais dont j’ai entendu parler, y arrivent…
Le bien être d’un animal c’est d’abord qu’il ait à boire et à manger dans un confort de vie lui permettant d’être à l’abri des intempéries et protégé du danger mais aussi le soigner ou le soulager s’il n’est pas possible de le guérir et enfin, qu’il puisse vivre dans un environnement adapté à son mode de vie, qu’il soit sauvage ou domestiqué.
Pourquoi as-tu accepté de participer à placedubienetre.com?
Parce ce que c’est un beau projet, plus on parlera du bien être animal et de ces nouvelles thérapies, plus les vétérinaires s’y intéresseront. Peut-être même existera-t-il un jour des formations en ce sens dans les écoles ?
Dr Joelle ROBYNS
aromathérapie vétérinaire
Le parcours du Dr. Joelle ROBYNS
Diplôme en poche en 1990, j’effectue de nombreux remplacements ponctuels sur Liège, Nice, Avignon, Pertuis, Nimes, golfe juan, antibes, Berre l’Etang.. Enfin, ALD puis association à la clinique vétérinaire Lingostière en 1996.
Passionnée d’aromathérapie, je crée Vetessentiel en 2011 et je formule une quinzaine de produits à base d’huiles essentielles en collaboration avec Dominique Baudoux de Pranarom qui me fabrique la plupart des produits. Le reste sera fabriqué sur Nice.
En 2016, je fonde le site www.aromatherapieveterinaire.com, ouvert à tout le monde et où j’écris de nombreux articles autour des Huiles Essentielles que ce soit pour débuter ou pour préparer des formulations mais aussi pour présenter mes cas cliniques.
En 2017, je m’associe dans la création d’un nouveau labo : LABBÊA (LABoratoire du Bien Être Animal) qui reprend les produits Vetessentiel et ceux formulés par Céline Moussour, vétérinaire phytothérapeute.
Quelles sont tes pratiques en médecines alternatives?
C’est surtout l’aromatherapie que je pratique, puissante et rapide ! Mais j’aime aussi pratiquer la méthode Niromathé, prescrire la gemmothérapie, conseiller la phytothérapie, la mycothérapie, les produits de la ruche, les colloïdes…
Pourquoi choisir une telle orientation, ou ré-orientation?
Parce que c’est efficace et naturel et que nos clients sont en demande de traitement plus proche de la nature, en première intention en tout cas.
Quelle est ta vision de la médecine vétérinaire moderne? Comment ta spécialité sert-elle l’art vétérinaire?
Assez paradoxalement, je suis certaine qu’il faut développer le recours aux examens complémentaires pour les cas compliqués, de manière à être rapide et efficace mais je suis persuadée qu’il faut aussi développer une approche plus holistique en ayant recours à des méthodes plus en accord avec des méthodes dites « douces ».
D’ailleurs il est tout à fait possible d’associer plusieurs médecines. Par exemple, prescrire des huiles essentielles n’empêche pas la prescription d’antibiotiques mais va renforcer leurs efficacités.
Où pratiques-tu ? En exercice exclusif de ta spécialité ?
Je suis actuellement en reconversion, je revends mes parts au sein de la clinique à Nice où j’exerçais. Avec le développement de mon site web, de LABBÊA, la rédaction d’articles pour différentes revues et sites internet, la publication de mon guide par les éditions Alpen , sans compter ma vie de famille, je n’avais plus assez de temps pour tout gérer…
Pour continuer à exercer mon métier de vétérinaire, je pense soit faire des visites à domicile, soit intégrer une nouvelle clinique en collaborateur libéral, soit aider une consœur à s’installer avec une priorité pour développer des consultations en relation avec ces différentes médecines alternatives.
Quelles sont tes passions et centres d’intérêt ?
Et si tu devais définir le bien-être animal...?
Difficile de ressentir les émotions d’un animal, bien que certaines techniques que je ne connais pas, mais dont j’ai entendu parler, y arrivent…
Le bien être d’un animal c’est d’abord qu’il ait à boire et à manger dans un confort de vie lui permettant d’être à l’abri des intempéries et protégé du danger mais aussi le soigner ou le soulager s’il n’est pas possible de le guérir et enfin, qu’il puisse vivre dans un environnement adapté à son mode de vie, qu’il soit sauvage ou domestiqué.
Pourquoi as-tu accepté de participer à placedubienetre.com?
Parce ce que c’est un beau projet, plus on parlera du bien être animal et de ces nouvelles thérapies, plus les vétérinaires s’y intéresseront. Peut-être même existera-t-il un jour des formations en ce sens dans les écoles ?